%0 Journal Article %A Cuellar, M.C %A Fontanillas Pérez, Juan Carlos %A García-Cuenca Ariati, Isabel %T Description de la zooépibiose de l'écrevisse signal (Pascifastacus leniusculus, DANA) en astaciculture %D 2002 %@ 0767-2861 %U https://hdl.handle.net/20.500.14352/101658 %X Des recherches ont été effectuées concernant la zooépibiose de l’écrevisse signal (Pacifastacus leniusculus, D.), provenant d’un centre d’astaciculture espagnol, au cours de la période 1997-1998.Les organismes épibiotiques dominants trouvés sur l’exosquelette appartiennent aux groupes zoologiques d’Invertébrés suivants : Mastigophora (Bodo), Cilliophora (Stentor, Epistylis, Zoothamnium, Acineta), Turbelaria (Temnocephala), Rotifera (Brachionus), Annelida (Branchiobdella), Acarina (Hygrobates) et Ostracode (Eucypris ou Enthocytera), on souligne le nombre élevé de Branchiobdellides de l’espèce Branchiobdella instabilia M., dont les quantités minimum et maximum, en mâles et femelles, oscillent de 12 à 139 et de 7 à 130, respectivement.Les hyperbranchiobdelloses provoquent des automutilations, des décollements des pinces et autres appendices, des mues anormales, des lésions cuticulaires, de l’hémocytopénie et des changements éthologiques.Les colonisations maximales d’Ostracodes de l’espèce Eucypris virens, J.O., Enthocytera heterodonta, R., dans les poches d’incubation des femelles donnent lieu à une coloration rougeâtre des œufs et à leur perte postérieure.Compte tenu de leur nombre limité et de la période d’épibiose, les genres des sousi types Mastigophora, Ciliophora, Turbelaria, Rotifera et Arachnida ne représentent aucun danger pour les écrevisses.En ce qui concerne la zooépibiose associée aux appendices et aux régions du corps des écrevisses du Pacifique, les chélipèdes ou pinces constituent le substrat où se placede préférence le genre Branchiobdella ; le céphalothorax sert de support à tous les groupes taxonomiques d’épibiontes identifiés. %~